Un coup de dés jamais n'abolira le hasard - Poème
"Mallarmé nourrissait un rêve fou, écrire un livre, le "livre" supposé combler à lui seul le besoin d'adoration de ses contemporains. Un cérémonial réglé avec une minutie maniaque devait en encadrer la lecture publique." (Eric Aschimann, Le nombre et la sirène par Quentin Meillassoux). Poème donné dans la revue "Cosmopolis" en mai 1897. La préface nous a paru d'un intérêt assez général, et assez significative de la pensée de l'auteur pour être reproduite ici, en tête de l'édition définitive, préparée par ses soins, telle qu'elle allait paraître au moment où la mort le surprit (éditeur).
Grand in 4° broché à rabats, non paginé 16ff.
"L'innovation principale établie par lui dans ce dernier "état" de son oeuvre , pour reprendre le terme dont il se servit, nous semble consister en ceci qu'il n'existe pas de page recto ou verso, mais que la lecture se fait sur les deux pages à la fois, en tenant compte simplement de la descente ordinaire des lignes." (éditeur)
Très bon état. infimes rousseurs aux coupes de 2 feuillets.
Fiche technique
- Année Édition
- 1914
- Auteur
- Mallarmé Stéphane
- Éditeur
- Nouvelle revue française, Paris
- Couverture
- souple blanche à rabats
- Envoi - Beaux papiers
- Vergé